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Chap 1 : 'Cause it's just unfair...

"Emma, chérie! Viens au salon!"
Je n'aime pas ces réunions de familles, pour la simple et bonne raison que c'est absolument inutile. Du moins, pas pour ma mère. Sa voix gaie laissait déjà une idée sur la discussion ; le genre de : "J'ai gagner au loto!" Mais ma mère ne joue pas au loto, et tant mieux, car elle est du genre à ne jamais baisser les bras, et ça c'est souvent mauvais pour son compte bancaire.
"Emma!"
Cette fois-ci, c'est mon père. La dernière fois qu'il voulait me parler c'était pour me punir de télé, car je "regarde des séries pas appropriées a mon Age". Regarder un épisode de "Bones" à 13 ans, ça n'a jamais tuer personne! Mais je dois avouer que vu la manière dont il m'a appellé, ce n'est pas pour me crier dessus. Plutôt pour m'annoncer qu'il aller [enfin] m'autoriser à regarder la télé en semaine. Oui, je sais, je vis dans un asile ; pourquoi m'interdire de regarder la télé en semaine? Pourquoi?
Bon, vu qu'ils étaient tout les deux en mode "Happy Day!", je suis allée voir quel est la personne ou la chose, qui a enfin réussi a les rendre heureux.
Ma mère était assise a coter de mon père, qui, lui, avait mis son bras par dessus l'épaule de sa moitiée. Étrange. Juste étrange... Ma mère essayait tant bien que mal de retenir un sourire. Ma mère a envie de sourire? Mon premier réflexe fut de regarder dans la cuisine. Dans l'armoire où sont rangées toutes les boissons, disons, alcoolisées. Tout est en place. Mes parents ne sont donc pas saoul. Encore plus étrange. Ma génitrice avait pleuré, son mascara avait coulé, cela se voyait énormément.
"Grand-mère est morte?"
Oui, j'ai bien posé cette question. Certaines personnes me trouverons folle de dire ce genre de choses, mais ma grand-mère est le genre de personne qui apprécie aucun être vivant, mis à part son chien "Tiki", et croyez-moi dans la famille on rêve tous qu'elle aille faire sa vie au pays des anges, ou des démons, sa destination importe peux.
"Mais! Voyons Emma !"
Mon père n'a pas apprécié, mais il peux le nier autant qu'il le voudras, on sais tous qu'il déteste sa mère.
"Patrice! Ce n'est pas le moment de crier sur ta fille!"
Je déteste quand ma mère dis à mon père que je ne suis pas sa fille. Ma mère est comme ça. Elle m'a toujours considéré comme un être ne lui appartenant pas vraiment, bien qu'elle m'aime plus que tout... Face à son comportement j'ai demander à mon père de faire un test génétique ; est il s'est avéré que ma mère est bien ma mère, quoi qu'elle puisse dire c'est bien dans son ventre que j'ai séjourné durant presque 9 mois.
"Je sais Barbara"
Regard tendre. Et roulage de pelles. J'ai donc détourné mon regard. Je penses être une des seules personnes de la terre à avoir des parents aussi immatures... Mon père commença à glisser sa main près de l'entre-jambe de ma mère, quand elle sembla se rapeller que j'étais là.
"Patrice...!"
Ce petit jeu commence à sérieusement m'énerver.
"Pourquoi m'avez-vous appelé? J'ai une vie moi! Et je compte pas la perdre en vous regardant vous...
-Tu es vraiment impatiente!
-Comme si toi, tu ne l'étais pas!
-Emma! Répète un peu ce que tu viens de me dire!
-Patrice! Non! Penses à...
-A quoi ?!? Vous allez me dire enfin ce qu'il vous rends si joyeux ?!"
Je jure que si ma mère n'avait pas commencer à ouvrir la bouche pour me répondre, j'aurais commis un crime.
"Emma, c'est vraiment important.
-Et on espère que ça te rendra aussi heureuse qu'à nous."
Mon père a sortit son indestructible sourire colgate. Celui qui autrefois faisait chavirait le coeur des femmes, mais qui aujourd'hui lui permet d’être un des plus grands marketings de France.
"Vas-y Barbara dis-lui."
Encore un sourire colgate.
"Comme tu le veux, ma mère lui adressa un sourire, plutôt, sensuel, avant de se tourner vers moi. Emma, je ..., je suis enceinte!"
Une larme de joie coula sur sa joue, elle lâcha sa jupe qu'elle serrait à cause du stress. Sa main gauche vint essuyer cette larme. Elle renifla. Mon père-lui manquer aussi de pleurer.
De mon coter, mon angle de vue devenait trouble, la venue des larmes était imminente. La rage envahissait tout mon corps.
"Quoi?"
Je parlais à mes parents comme jamais je ne l'avais fait. Je m'en fichait. Ils avaient oser.
"Comment l'avait-vous oublié? Comment! Vous êtes juste horribles! Comment avez-vous pu ?!"
Je criai de tout mon corps. Les voisins devaient m'entendre.
"Emma! Calme-toi!
-JAMAIS!"
Les avertissement de mon père ne changèrent rien. La colère était plus forte que tout.
Je courus dans ma chambre. Le seul endroit où leurs présence n'était pas tolérée dans cette maison.

C'est super^^j'ai hâte de voir la suite!:DContinue c'est trop bien^^